Vitamine D et calcium : un impact réel sur l'ostéoporose

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17.07.2023

40 000 fractures annuelles évitées grâce à une supplémentation en calcium et vitamine D. Des économies de 310 millions d’euros de dépenses de santé à la collectivité.

C’est ce qui ressort de l’étude médico-économique réalisée par le cabinet Frost & Sullivan pour Synadiet sur le rôle des compléments alimentaires avec du calcium et de la vitamine D auprès des Françaises de plus de 50 ans.

La méta-analyse s’est appuyée sur un ensemble de neuf études cliniques qui ont analysé l’effet de la supplémentation vitamino-calcique dans la prévention de l’ostéoporose chez les femmes de plus de 50 ans.

Comprendre :

  • 3,2 millions de femmes (soit un tiers des femmes de plus de 50 ans)
  • 800 000 hommes
  • 480 000 fractures / an
  • altération importante de la qualité de vie et augmentation de la morbi mortalité : 80% des sujets restent limités dans leurs activités quotidiennes, 40% ne peuvent plus marcher seuls, 24% sont institutionnalisés en EHPAD.

Une démarche globale

Si une partie de notre masse osseuse est déterminée génétiquement, il est possible d’avoir un impact positif sur 20 à 40% de celle-ci. S’assurer d’un apport suffisant en calcium mais aussi en vitamine D constitue ainsi l’élément clé de cette prévention.

En plus des apports alimentaires, la supplémentation s’avère un outil précieux : 70% des Français ont un déficit en vitamine D et certaines populations ont des apports alimentaires en calcium insuffisants (dont notamment les personnes âgées et les végans). Adopter une activité physique adaptée participe également à cette démarche globale de prévention.

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